En Seminaire Prise Dans Les Toilettes D’Un Restaurant


En séminaire à Paris pour une semaine, j’avais laissé mari et s à la maison, et me retrouvait seule dans cette grande ville, prête à tous les excès. J’avais contacté Albert, avec qui, depuis quelques mois s'était installé à Paris. Son corps superbe de Noir et ses prouesses sexuels d'amant me manquait souvent je dois l'avouer. Nous nous rencontrâmes, le soir au restaurant. La soirée fût agréable et l’alcool aidant je racontais à Albert, mes quelques nouvelles aventures. Il est vrai que nous n'avions plus aucun secret l'un pour l'autre et qu'une grande intimité nous liées. Il fût un peu surpris de ma franchise, il est vrai que si je voulais assouvir mes fantasmes pendant cette semaine de séminaire, il me fallait allez droit au but, et je savais Albert suffisamment débrouillard pour m’aider à me libérer. J’essayais d’atténuer mes propos pour éviter qu’il me prenne pour une folle nymphomane, mais je sentis à son regard qu’il aurait bien voulu me manger sur place. Faut dire qu’avec mon tailleur bourgeois faisant ressortir mes formes pulpeuses, j ‘étais particulièrement appétissante. Albert me proposa un club à Saint Denis (très glauque) mais qui comblerait mes fantasmes de bourgeoise aimant se compromettre avec des inconnus et se donner entièrement . J’acceptais son offre mais devait attendre 2 jours, car Albert devait prendre quelques contacts pour confirmer notre soirée. Cependant avec un grand sourire il me dit :

- ne te fais pas de soucis, je sais comment te faire patienter.
- comment ?
- Si tu recherche vraiment la soumission, tu vas descendre dans les toilettes des hommes, entrer dans une cabine, et te caresser. Interdiction de fermer la porte a clé

Totalement excité Je suis descendu dans les toilettes, j’entre dans la zone homme qui fort heureusement est vide et pénètre dans une cabine. Je m’assois sur les toilettes et commence à me caresser. Je savais que Albert me laisserait quelques minutes, mais me rejoindrait.

Cela n’a pas tardé, Albert est arrivé ouvrant grand la porte et me regardant m’exhiber, il sourit et s’approcha de moi.

Sa main se dirigea vers mes seins qu’il sortit de mon tailleur et caressa intensément. Sa deuxième prit ma tête qu’il dirigeait vers son bas ventre. Je lui sortis son sexe de black énorme et lui appliqua ma langue de bas en haut. Me faire prendre dans les toilettes des hommes pour ma première soirée jolie succès. Continuant de butiner son sexe, il me plaqua son sexe entre me seins que je lui compressais en le branlant. Au vue de son regard je peux vous dire que l’effet était réussi.

Il me releva, me retournant et souleva ma jupe, montrant mes fesses. Il écarta ma culotte, et dirigea son sexe vers moi et me pénétra lentement. Il commença alors ses mouvements de va et vient ce qui immédiatement m’emmena à la jouissance. Il restait silencieux mais les bruits caractéristiques de son assaut sur mon corps, ne laissait aucun doute sur ce que nous faisions.

Malgré le fait que Albert avait refermé la porte un certain nombre de mâle venu se libérer s’attardaient dans les toilettes espérant pouvoir voir se qu’il se passait.

Déliant sa cravate il m’attrapa les poignets qu’il lia ensemble. Il passa sa cravate au dessus de la chasse d’eau me forçant à lever mes bras, attachés, vers le haut. Tout en tenant solidement sa cravate il continuait à me martelait en levrette. De son autre main il m’empoignait les seins à tour de rôle me pinçant les tétons. Mon souffle et me gémissement se faisant trop fort Albert me dit :

-il faut que je te bâillonnes, autrement il font nous arrêter pour attentat à la pudeur.

De toutes ses forces il tira sur ma culotte en dentelle noire déchirant mon slip. Il sectionna les deux cotés et me fourra ma culotte dans la bouche.

- voilà c’est que tu voulais, être prise comme une garce. Murmurait Albert à mon oreille.

Sa langue me léchait l’oreille, sa main me caressait les fesses ou mes seins, tandis que de son autre main il me maintenait attachée.



Albert me prenait de toutes ses forces me caressant les fesses d’une main, et les seins de l’autre. Je sentis mon orgasme venir et me retenait pour ne pas hurler sachant des personnes attendre à l’extérieur. Pour accélérer sa délivrance je bougeais mes fesses sachant qu’il ne pourrait pas résister. Il sorti son membre de mon sexe et joui sur mes fesses éclaboussant ma jupe et mes bas.

« Bienvenue à Paris, la semaine va être très chaude » me glissa t’il dans l’oreille. Maintenant il faut que tu sortes affronter le regard des mecs qui sont dehors…..

En sortant je croisais juste un homme finissant de se rincer les mains, qui me reluqua avec envie. Je quittais les toilettes rapidement remontant à notre table pour finir le repas.

A l’extérieur du restaurant nous primes rendez vous pour le lendemain soir, pour une nouvelle aventure. Comment pourrais attendre si longtemps….

Ma semaine de séminaire se déroula ensuite sans surprise. Il ne se passa malheureusement rien le lendemain soir, pas de message rien néant. Chaque jour j’attendais des nouvelles de Albert qui ne se manifestait pas. Au début je pensais qu’il devait s’appliquer à organiser notre soirée. Mais les jours passés, l’ennui me gagnait, et l’angoisse aussi, pensant repartir en fin de semaine sans avoir eu le bonheur de cette soirée qu’il m’avait promis. Le dernier soir en regagnant l’hôtel, je trouvais un message à mon intention. Je remontais vite dans ma chambre et ouvrit l’enveloppe. Elle contenait le message suivant.

« Tu vas te rendre à la consigne numéro 219 de la gare de l’Est. Tu trouveras un sac avec des accessoires, tu devras alors te changer et te rendre à l’adresse indiquée ci joint. »

Je pris l’adresse ainsi que la clé de la consigne et me précipitait vers l’extérieur. Albert avait soigné son scénario, et j’étais sur de pouvoir m’attendre à une nuit pleine de surprise. Dans le taxi qui me conduisait à la gare je décidais de démarrer un petit jeu de séduction avec le chauffeur.
J’avais besoin de tester mon pouvoir de séduction sur le premier inconnu. Je croisais donc mes jambes laissant remonter ma jupe sur mes cuisses, et laissait filer ma langue discrètement et chaudement sur mes lèvres. Je devinais le regard du conducteur dans son rétroviseur, qui voulu entamait la conversation. L’homme était mignon et je dois avouer que sans mon rendez-vous avec mes propres fantasmes organisé par Albert, j’aurais sûrement insisté pour approfondir ce qui aurait pu être un échange culturel intense. Arrivé à la gare je pris tout de même son numéro de téléphone et lui promis de l’appeler après ma soirée pour me ramener à l’hôtel.

Je me dirigeais vers la consigne et entrepris d’ouvrir le casier avec ma clé. Je pris le sac à l’intérieur et me dirigeais vers les toilettes. Je m’enfermais pour explorer le contenu du sac. Il y avait à l’intérieur une guêpière en latex noire et le string, les bas assorti, une très élégante robe en vinyle, assortie de zips sur les cuisses et d'un grand zip invisible dans le dos, des gants longs, un foulard noir et une paire de menotte. Une autre enveloppe, m’ordonnait de me changer et d’aller attendre à l’extérieur de la gare qu’une voiture vienne me chercher. Habillait comme cela dans une gare je n’allais pas passer inaperçu.

Je m’empressais d’enfiler l’ensemble des accessoires. Je m’aperçu que la guêpière faisait ressortir mes seins et que la robe était faite pour moi, avec un décolleté très plongeant. Bref tout le matériel pour une vrai nuit de plaisir et de fantasmes.

Je sortis de la gare et attendis le véhicule. Malgré les consignes je gardais mon imperméable pour camouflait mon déguisement fort heureusement car sinon la police m’aurait arrêtée avec sûrement de très bon motif. Au bout de 15 minutes une voiture aux vitres opaques s’arrêta à ma hauteur, une fenêtre s’ouvrit et un homme me dit « monte à l’arrière tu es attendu ». Je m’introduis dans la voiture. Un homme m’attendait à l’arrière.
Il portait un masque recouvrant son visage.

- Tu as désobéi aux consignes, enlèves moi cet imper immédiatement

Je m’exécutais, et laissait découvrir mon corps gainé dans ma nouvelle robe noire.

Il me contempla, longuement me passa délicatement la main sur les cuisses remontant le long de mon corps ; Je ne bougeais pas me laissant découvrir, avec une sensation de sensualité qui régnait dans la voiture très envoûtante.

- Avant de commencer la soirée, Je vais devoir te punir pour ta désobéissance. Arrête-toi au bois dit-il en s’adressant au chauffeur on va lui faire faire connaissance avec pedro ;
- Qui est Pedro ?
- Tu verras bien mais en tous cas il va te falloir te laisser faire.

Apres 20 minutes de trajet la voiture se stoppa dans un endroit désert (en plein cœur de Paris), et mon compagnon de route m’ordonna

- tu vas sortir de la voiture pénétrer dans ce bosquet et attendre

Je m’exécutais sorti de la voiture et attendis dans le bosquet. Au bout de quelques minutes un homme arriva, il s’agissait d’un clochard, je pensais qu’il allait passer son chemin mais il m’aborda, et me dit :

- Alors comme cela on n’obéit pas aux ordres, encore une femme rebelle. Pour ta punition tu vas devoir me soulager.

Voici donc le scénario de Albert m’habillait comme une pute et me donner en pâture à un inconnu, plutôt banal. Il sortit de mon sac la paire de menotte et le foulard. Il me banda les yeux me retourna et m’attacha les mains à une branche de l’arbre avec les menottes. Je sentis sa main remontai sur mes bas relevant le bas de ma robe pour découvrir mon string. Sa main s’introduit entre mes fesses cherchant plus à me fouiller qu’à me pénétrer. Il me masturbait les fesses en évitant toute pénétration entraînant la lanière de mon string dans ses attouchements. Son autre main me caressait les seins au travers de ma robe en vinyle. Le contact de ma robe l’excitait et ses caresses se faisaient plus pressante. Cette masturbation me remplissait de plaisir. Il est difficile d’expliquer ce que je pouvais ressentir, a ce moment. Etait ce le fait d’une jouissance sexuelle, ou seulement le fait de mettre cet homme dans cet état. Qui de nous deux était soumis ? Je sentis alors qu’il introduisit dans mon vagin un objet que je ne pouvais reconnaître. Deux petites boules qu’il enfonça complètement en moi.

- Tu vas garder ces boules de geishas, jusqu'à ce qu’un autre te les enlèves. Maintenant retourne à la voiture et respecte les consignes.

Il me détacha les mains remis-le tout dans mon sac et m’accompagna à la voiture.

Me laissant monter à l’arrière il monta à l’avant du véhicule. Le véhicule reprit sa course en silence. Les boules m’empêchait de trouver une position confortable je gesticulais ce qui parfois engendrait chez moi de drôle de réaction. Une incroyable sensation me pénétrait, comme un mélange de douleur et de plaisir. Au bout d’un certain temps le véhicule stoppa devant une auberge. Nous avions quitté Paris et je n’avais aucune idée de l’endroit ou nous étions.

Avant de descendre l’homme à l’arrière me dit. Nous allons rentrer tous les deux dans cette auberge et tu devras te plier aux consignes. Il enleva son masque et je reconnus Albert.

- N’ai pas peur mon amour ce jeu n’est que pour toi. Je vais t’enlever les boules, que tu sois prête à te faire prendre.

Il m’embrassa fougueusement, fouilla dans mon intimité et me débarrassa de cet accessoire. Nous pénétrons dans le bar. Un homme au comptoir et trois autres attablés nous regardèrent. Notre chauffeur et le clochard suivirent pour s’accouder au comptoir.

Albert me pria de m’asseoir au fond de la salle. Tous les hommes me fixaient du regard. Il faut dire que ma tenue de laissait aucune équivoque sur mes formes généreuses. Albert prit la parole

- je vous présente Patricia. Son corps est à vous pour la soirée. Votre seule contrainte sera de la faire jouir.

Les trois hommes ainsi que le propriétaire du bar se dirigèrent vers moi. Le premier me leva prit ma place sur la chaise et m’assis de force sur ses genoux. Il m’embrassa alors m’enfonça sa langue dans ma bouche. Le second s’approcha et me palpa les seins à travers ma robe.

- Attends, on va la jouer aux cartes
- OK, c’est une bonne idée. Le gagnant aura la priorité et pourra choisir comment on va la prendre. En attendant les autres bon nous la chauffer un peu

Ils commencèrent la partie de carte me plaçant, dans les bras du chauffeur. L’homme m’emmena au milieu du bar et me plaça le bandeau sur les yeux. Je ne voyais rien mais entendais les commentaires. Je sentis le zip de ma robe descendre découvrant ma guêpière en latex noire et le string. Il fit sortir mes seins des balconnets, et me palpa la poitrine titillant mes seins. Je commençais à ressentir une réelle excitation. Une autre main s’immisça en dessous de mon string. Mon faux clochard était derrière moi et participait à mon échauffement. Je devinais Albert assit regardant la scène.

La partie de carte se terminait et tous se mirent d’accord sur la façon dont je serais prises.

Je fus placé sur une chaise et sentis un sexe se frottait sur mon visage. L’homme me dit :
- Prends-moi en bouche

J’engloutis le sexe qui était d’une taille raisonnable et me mis à le sucer activement. Je sentis un visage entre mes cuisses et une langue qui s’introduit dans mon vagin. Les cuisses écartées et maintenues, je me retrouvais entourés par 6 hommes dont deux avaient commencés à me travailler. Cette langue et ce sexe m’envahissait la bouche et le vagin, et je me sentais réagir aux assauts de ces hommes. Mes mains saisirent deux autres sexes que je masturbais activement.

Etre l’objet de désir d’hommes surexcités place une femme de situation de dominé à dominatrice. Bien que la situation me plaçait comme une poupée de chair manipulée ainsi que le comportement de mes amants ne cherchant qu’a me rabaisser, je savais qu’ils faisaient cela que pour mon propre plaisir et que chacun d’eux m’appartenait.

Ils me relevèrent en m’entraînant vers une table de billard. Je montais sur la table ou un homme m’attendait allonger.

- Viens sur moi beauté, je vais te prendre

Il introduit son sexe en moi, et commence à me baiser. Les vas et viens se font de plus en plus rapide, son sexe coulissant en moi alors que ses mains sur mes fesses accompagne chaque mouvement de ma croupe. Sa langue suce mes seins qui pendent au dessus de son visage.

- Qu’elle est bonne, regarde ses grosses loches qui pendouille.
- J’adore voir une bourgeoise se faire défoncer comme une pute
- Faut dire que celle la, elle à un cul d’enfer
- Tu l’entends gémir cette cochonne, elle est prend son pied
- C’est surtout ma bitte qu’elle va prendre dans la bouche
- Moi c’est son cul que je vais prendre. Qu’en penses tu ma belle, tu veux ma queue dans ton petit trou
- Ohhh oui allez y prenez-moi de tous les cotés, faites moi jouir, je veux voir votre sperme dégouliner sur mon corps
- Qu’elle garce, elle est sacrement chaude

Le premier me plaça son sexe dans la bouche, alors que le second s’était positionné derrière moi plaçant son doigt à l’entré de mon anus, qu’il força tout doucement. Je sentais son doigt envahir mon cul et se frayait un chemin alors que ma chatte était pilonnée par un vrai marteau piqueur. Je sentais les autres regardant la scène tout en se masturbant. Il introduit son sexe dans mon anus me prenant en sandwich.

- ahh je vais jouir dans sa bouche je sens que ça vient.

Il sortit son sexe de ma bouche m’enleva mon bandeau et je sentis de longues giclées de sperme m’inonder le visage et les cheveux.

Aussitôt un autre sexe pris sa place, et une nouvelle fellation recommença. Ses hommes étaient infatigables, et ne se contrôlaient plus. Ils enchaînèrent les uns après les autres, fellation, sodomie levrette, m’emmenant dans tous les endroits du bar. Pendant que certains reprenaient des forces d’autres me besognaient, sans me laisser souffler.

Au bout de temps, ils installèrent 6 chaises en cercle et prirent place. Moi debout au milieu, Albert me prit debout par derrière. Je dégoulinais de sperme, mes bas étaient déchiraient, et ne sentais plus mes sens et mes muscles. Albert me baisait avec fureur, glissant ses mains le long de ma guêpière noire (maintenant blanchâtre de sperme), saisissant mes seins à pleines mains, pendant que les autres se branlaient en regardant la scène. Je le sentais prêt à jouir. Il m’accroupi et tous ensembles se rapprochèrent pour se vider une derrière fois sur mon visage et mes seins. Je fus littéralement inondée ne pouvant comprendre comment après une telle nuit ils pouvaient continuer à se décharger autant.

Je venais vivre mon premier gang bang. Nous nous rhabillèrent. Albert me fit rapidement sortir du bar et seul il me raccompagna à mon hôtel. Arrivés à l’hôtel, il m’assura qu’aucun des ces hommes ne connaissait mon nom, et me promis qu’à ma prochaine visite il inventerait un nouveau scénario.

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